Depuis les assassinats du mercredi 7 janvier 2014, d’une lâcheté et d’une bêtise terrifiantes, j’ai soigneusement évité de réagir sur la toile. Je n’ai pas voulu m’épancher à chaud, et à vrai dire je n’ai pas su le faire car le choc est intense. La presse satirique est un petit monde et tous les dessinateurs...